Auteur : Jennifer L. Armentrout
Editions : J’ai lu
Genre : Fanstatique
Pages : 440
Prix : 13,90 €
Date de parution : 21 septembre 2016
Public : Young Adult
« Si elle a été sauvée in extremis par les pouvoirs de Daemon, Katy n’est désormais plus tout à fait la même. Et il lui faudra du temps pour apprivoiser sa nouvelle nature. Néanmoins, la communauté des Luxens a des problèmes plus urgents à régler dans l’immédiat : un deuil qui fait dissension, le retour inattendu de Dawson, et la recherche d’un plan visant à tromper la surveillance de la Défense. Par ailleurs, une menace bien pire que la présence des Arums semble peser sur eux : « le Dédale ». Si cette organisation découvre ce dont Daemon et Katy sont capables, ils sont perdus… »
Stella : Notre année de tranquillité est bien finie…
Maurice : Ah oui, tu crois ! Regarde Alfred dans quel état il est…
Après Jack Black, elle va nous pondre qui ?
Alfred : Tu ne veux pas savoir, Momo. Tu ne veux pas savoir…
Entre la disparition de certains personnages, d’autres qui reviennent et j’en passe, il y a de quoi marcher sur la caboche ! Heureusement, dans toute cette agitation, Daemon reste égal à lui-même : sexy, arrogant et charismatique (bon, ça ne m’a pas empêchée de vouloir le gifler une ou deux fois au cours de ma lecture), essayant de maîtriser ses humeurs face à un vieil ennemi et celles de sa sœur Dee.
Katy apprend à utiliser ses nouveaux pouvoirs sans blesser personne, et à s’entraîner pour une mission sauvetage au Mont Weather. Super ! Encore une mission suicide, chouette ! Pourquoi changer la routine ?
Ce troisième tome est carrément, totalement génial ! Et cette patin de fin ! Encore une qui m’a laissée sur les miches, ça suffit les cliffhangers qui vous nouent tripes et boyaux !

J’ouvris les miens. Daemon avait relevé la tête. Ses iris étincelaient. C’est à ce moment que je me rendis compte que j’avais toujours les mains sous son tee-shirt. Je les retirai vivement.
-Oh, mon Dieu, murmurai-je, incroyablement gênée.
La réaction de Daemon me fit rougie encore plus.
-Tu n’as rien vu, Dee, dit-il avant d’ajouter, à voix basse : mais seulement parce que tu es arrivée juste à temps. »